luc gwiazdzinski
« Être seul avec la nuit, maussade hôtesse », « ...comme un peintre qu’un dieu moqueur condamne à peindre, hélas ! sur les ténèbres ». C’est ainsi que Charles Baudelaire – dans Les Fleurs du mal décrivait le comble de la tristesse. Les candidats à la morne solitude n’ont pourtant
pas manqué si l’on en croit la centaine de tableaux, de photographies, sculptures et vidéos réunis dans l’exposition exceptionnelle présentée
actuellement au Centre Pompidou Metz : Peindre la nuit.