guy saez
Georg Simmel expliquait la créativité et l’intense renouvellement des formes artistiques dans la métropole du début du XXe siècle par les caractères particuliers de
la grande ville. La métropolisation culturelle serait l’adaptation quasi « biologique » et psychologique de l’esprit et de la sensibilité à une sorte de bombardement
sensoriel inédit en raison de la profusion des sollicitations1.