françois pouthier
Aujourd’hui, la notion de territoire est au coeur des débats, des discours, des intentions. Difficile d’y échapper dans le discours d’un.e élu.e qu’il soit de stature
nationale comme locale ou dans celle d’un acteur culturel de terrain, public comme privé. Cette utilisation – parfois abusive – de la notion est un signe de sa porosité et de la plasticité du terme : avec une force, celle de s’être imposée dans les vocables du quotidien ; et un risque, celui de devenir un « mot mana » de plus dans la caisse à outils de l’aménageur culturel.