stéphanie aubin
Lorsque je suis arrivée à la Maison des métallos – avant même que nous ayons à préciser si nos rendez-vous se feraient en présentiel ou en distanciel –, j’avais souhaité explorer un nouvel espace à partager avec les usagers de cette maison : un terrain de jeu digital pour « faire l’expérience de l’art » d’une autre façon, dans un point de passage entre rencontres virtuelles et réelles (« phygitales » dit-on plus justement aujourd’hui. Encore un drôle de mot !).