jean guibal
Le patrimoine et l’histoire sont par essence de définition savante et contribuent pour beaucoup au caractère académique des politiques culturelles. Qu’en serait-il si le curseur était légèrement déplacé ? Si le recours au public, tant pour la définition du patrimoine que pour sa mise en valeur, était systématisé ? Quelques expériences conduites par le Conseil général de l’Isère, notamment autour de son Musée dauphinois, permettent d’estimer la profondeur du changement et les bénéfices culturels que l’on pourrait en attendre.