jean-paul angot, virginie boccard
Les structures oeuvrant dans le champ du spectacle vivant, et notamment les scènes
nationales, font l’expérience d’une relation à leur public mettant en jeu différents
paramètres à expérimenter sans cesse, sans recette préétablie. Le choix des formes
artistiques et de la position du spectateur qu’elles impliquent, la co-construction
partenariale de projets de médiation ainsi que les réponses apportées aux nouveaux
comportements du public tentent de lever des freins symboliques et d’installer une
relation plus individualisée au spectateur, compensant ainsi le moindre impact
prescriptif des relais intermédiaires classiques.